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Régime de TVA : imposition, franchise et changement de régime

Publié le 19 février 2024 • Comptabilité

Régime de TVA : imposition, franchise et changement de régime

Comprendre les régimes de TVA est essentiel pour toute entreprise. Il existe différents régimes tels que le régime de franchise en base, le régime réel simplifié et le régime réel normal. Le choix du régime dépend de l'activité de l'entreprise et du montant de son chiffre d'affaires. Il est également possible de passer d'un régime à un autre selon les circonstances. Explorons ces régimes et leurs implications pour votre entreprise.

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Hugo Andrianjatovo

Expert Finance

Forme de séparation

Les principes des régimes de TVA

Le fonctionnement général de la TVA

La TVA, ou Taxe sur la Valeur Ajoutée, est un impôt indirect sur la consommation. Elle est collectée par les entreprises et reversée à l'État. Le fonctionnement de la TVA repose sur un système de déduction : l'entreprise déduit la TVA qu'elle a payée à ses fournisseurs (TVA déductible) de la TVA qu'elle a collectée sur ses ventes (TVA collectée).

Les entreprises sont soumises à différents régimes d'imposition selon leur chiffre d'affaires annuel :

  • Franchise en base de TVA : exonère de la TVA les petites entreprises.

  • Régime réel simplifié : pour un chiffre d'affaires intermédiaire.

  • Régime réel normal : pour un chiffre d'affaires élevé.

Chaque régime entraîne des obligations déclaratives différentes.

Les différentes catégories d'assujettis à la TVA

L'assujettissement à la TVA se décline en plusieurs catégories selon des critères spécifiques.

Les assujettis ordinaires : ce sont des entreprises qui réalisent des transactions taxables et qui sont donc tenues de collecter la TVA sur ces opérations et de la reverser à l'État.

Les assujettis mixtes ou partiels : ils exercent à la fois des activités taxables et des activités exonérées de TVA. Ils peuvent ainsi déduire partiellement la TVA payée sur leurs achats.

Les assujettis exemptés : bien qu'ils réalisent des opérations imposables, ils bénéficient d'exonérations légales et ne sont donc pas tenus de collecter la TVA.

Les non-assujettis : ils n'effectuent que des opérations non soumises à la TVA et ne sont donc pas tenus de déclarer ni de reverser cet impôt.

Les assujettis franchisés : ce sont des petites entreprises qui bénéficient du régime de franchise en base de TVA. Elles ne facturent pas de TVA à leurs clients et ne peuvent pas déduire la TVA payée sur leurs achats.

Enfin, introduit récemment, l'assujetti unique (AU), un nouveau régime fiscal permettant à des personnes assujetties liées sur les plans financier, économique et organisationnel d'agir comme une entité unique pour la TVA.

Le paiement de la TVA : débit ou encaissement ?

Le moment de paiement de la TVA est déterminé par deux régimes : le régime de débit et le régime d'encaissement.

Dans le régime de débit, la TVA est due dès l'émission de la facture, et ce, même si la facture n'est pas encore réglée par le client. Ce système peut parfois entraîner un décalage de trésorerie pour l'entreprise.

Au contraire, dans le régime d'encaissement, la TVA n'est exigible qu'au moment où le client règle la facture. Ce système est généralement plus avantageux pour la trésorerie de l'entreprise.

Il est à noter que le choix entre ces deux régimes dépend du secteur d'activité de l'entreprise et des options choisies lors de sa création ou en cours d'activité.

La déclaration de la TVA

Comment déclarer la TVA : les étapes clés

La déclaration de la TVA est une procédure réglementée qui dépend du régime fiscal de l'entreprise. Voici les étapes clés pour la réaliser :

  1. Identification du régime fiscal : En fonction de votre régime (franchise en base, régime simplifié, régime réel normal), les modalités de déclaration varient.

  2. Calcul de la TVA due : Il s'agit de déterminer le montant de la TVA collectée et déductible pour obtenir le montant de la TVA due.

  3. Préparation de la déclaration : Selon votre régime, vous devrez remplir un formulaire spécifique (CA3, CA12...). Cette étape comprend la saisie des informations relatives à la période concernée par la déclaration.

  4. Transmission à l'administration fiscale : La déclaration doit être transmise par voie électronique via votre espace professionnel sur le site des impôts. Il est essentiel de respecter les dates limites de déclaration.

  5. Paiement de la TVA : Après la transmission de la déclaration, vous devez régler le montant de la TVA due. Le paiement s'effectue également en ligne, via votre espace professionnel.

Ces étapes peuvent varier en fonction du type d'entreprise, de l'activité exercée et de la zone géographique. Il est donc conseillé de se renseigner précisément sur les obligations qui vous correspondent.

Déclaration mensuelle ou trimestrielle : quel choix ?

Le choix entre une déclaration mensuelle ou trimestrielle dépend de plusieurs facteurs clés.

Premièrement, l'option mensuelle demande une gestion administrative plus régulière, ce qui peut être difficile pour certaines entreprises ayant des ressources limitées.

Deuxièmement, le seuil de TVA due joue un rôle important. Si le montant annuel de la TVA due est inférieur à 4 000 €, l'entreprise peut opter pour une déclaration trimestrielle.

Enfin, le type de régime de TVA auquel l'entreprise est soumise impacte également le choix. Pour le régime réel simplifié, des acomptes semestriels sont à verser (55% en juillet et 40% en décembre), avec une régularisation annuelle si nécessaire.

Il est donc essentiel de bien évaluer la situation de votre entreprise avant de faire un choix.

La déclaration CA12 : à quoi sert-elle ?

La déclaration CA12 est un document fiscal utilisé par les entreprises soumises au régime simplifié d'imposition à la TVA. C'est une déclaration annuelle qui offre un récapitulatif de l'ensemble des opérations imposables réalisées par l'entreprise au cours de l'année civile précédente.

Son rôle est double :

  • Elle permet de déterminer la TVA due pour l'année écoulée. Le solde de TVA à payer est calculé après déduction des acomptes versés en cours d'année.

  • Elle sert aussi de base pour le calcul des acomptes de TVA de l'année suivante. Les acomptes sont généralement versés semestriellement, en juillet et décembre.

La déclaration CA12 est donc un outil clé pour la gestion de la TVA dans les entreprises au régime simplifié. Pour être en règle, il est impératif de la remplir attentivement et de la transmettre dans les délais prescrits par l'administration fiscale.

Les différents régimes fiscaux de TVA

Le régime réel simplifié : pour qui et comment ?

Le régime réel simplifié est conçu pour alléger les obligations des entreprises en matière de TVA. Ce régime est applicable de plein droit aux entreprises dont le chiffre d'affaires HT annuel n'excède pas les limites spécifiques fixées par la loi : 842 000 € pour les activités de vente de biens, de ventes à consommer sur place et de fourniture de logement, et 264 000 € pour les prestations de services.

Pour bénéficier de ce régime, l'entreprise doit également respecter certaines conditions liées à la gestion de la TVA. Par exemple, le montant de taxe exigible au titre de l'exercice précédent ne doit pas dépasser 15 000 €.

Dans le cadre du régime réel simplifié, l'entreprise verse des acomptes semestriels calculés sur la base de la TVA payée l'année précédente. Elle effectue ensuite une déclaration récapitulative annuelle (CA12) pour ajuster le montant de TVA réellement dû.

Si l'entreprise souhaite opter pour le régime réel normal, elle doit en faire la demande avant le 1er février de l'année en cours.

Le régime réel normal : caractéristiques et conditions

Le régime réel normal est applicable aux entreprises dont le chiffre d'affaires HT annuel dépasse les limites fixées par la loi pour le régime réel simplifié. Ces limites sont de 842 000 € pour les activités de vente de biens, de ventes à consommer sur place et de fourniture de logement, et de 264 000 € pour les prestations de services.

Sous ce régime, l'entreprise doit effectuer une déclaration mensuelle ou trimestrielle de TVA (formulaire CA3), accompagnée du paiement de la TVA due. Cela exige une gestion administrative plus régulière. Cependant, pour les entreprises dont le chiffre d'affaires est inférieur à 4 000 €, il est possible d'opter pour une déclaration trimestrielle.

Notez que les entreprises qui ont opté pour le régime réel normal peuvent retourner au régime réel simplifié si elles respectent les conditions du régime simplifié, notamment en termes de seuils de chiffre d'affaires. L'option doit être faite avant le 1er février de l'année en cours.

L'option pour un régime spécifique de TVA

Comment savoir si mon entreprise est en régime simplifié ou normal ?

Pour déterminer si votre entreprise est en régime simplifié ou normal, plusieurs facteurs sont à prendre en compte. Le régime applicable dépend essentiellement de votre chiffre d'affaires annuel et du type d'activité que vous exercez. En général, le régime simplifié est appliqué si votre chiffre d'affaires HT n'excède pas les limites fixées par la loi : 842 000 € pour les activités de vente de biens, de ventes à consommer sur place et de fourniture de logement, et 264 000 € pour les prestations de services. Si ces seuils sont dépassés, vous passez automatiquement en régime réel normal. Néanmoins, une option pour le régime supérieur est possible, sous certaines conditions. Vous pouvez vérifier votre régime actuel en consultant vos documents fiscaux ou en vous connectant à votre espace professionnel sur le site des impôts.

Comment choisir entre le régime réel simplifié et le régime réel normal ?

Le choix entre le régime réel simplifié et le régime réel normal dépend principalement de la taille de votre entreprise et de votre préférence en matière de gestion administrative.

  • Le régime réel simplifié a l'avantage de simplifier les obligations administratives, avec des acomptes semestriels et une régularisation annuelle. Il est donc généralement préféré par les petites entreprises dont le chiffre d'affaires est inférieur aux seuils fixés par la loi.

  • Le régime réel normal, quant à lui, nécessite une déclaration mensuelle ou trimestrielle et une gestion plus régulière. Il est généralement choisi par les entreprises ayant un chiffre d'affaires plus important, ou qui préfèrent avoir un contrôle plus régulier sur leur TVA.

Il est également à noter que si vous êtes en régime réel simplifié, vous pouvez opter pour le régime réel normal. Cependant, pour passer du régime réel normal au régime réel simplifié, votre entreprise doit respecter les conditions du régime simplifié, notamment en termes de seuils de chiffre d'affaires.

Le seuil d'imposition à la TVA

Définition et calcul du seuil d'imposition à la TVA

Le seuil d'imposition à la TVA est une limite de chiffre d'affaires en deçà de laquelle une entreprise n'est pas tenue de facturer la TVA sur ses ventes. Ce seuil varie en fonction du régime fiscal applicable : franchise en base, régime réel simplifié, régime réel normal.

Pour chaque régime, la loi fixe un chiffre d'affaires HT annuel maximal. Par exemple, pour le régime réel simplifié, le seuil est de 842 000 € pour les activités de vente de biens et de ventes à consommer sur place et de fourniture de logement, et de 264 000 € pour les prestations de services.

Ces seuils sont révisés chaque année par l'administration fiscale. Si une entreprise dépasse le seuil applicable à son régime en cours d'année, elle doit passer au régime supérieur dès l'année suivante.

Les conséquences du dépassement du seuil d'imposition à la TVA

Dépasser le seuil d'imposition à la TVA a des impacts significatifs sur l'entreprise. Les obligations administratives s'alourdissent, notamment en termes de déclarations fiscales. Dès que le seuil est franchi, l'entreprise perd le bénéfice de la franchise en base de TVA dès le premier jour du mois de dépassement. Elle doit alors facturer la TVA sur ses ventes et opérations, ce qui peut avoir un impact sur sa compétitivité si la hausse des prix n'est pas bien acceptée par ses clients. Par ailleurs, le passage à un régime supérieur de TVA implique des obligations comptables plus conséquentes, ce qui peut nécessiter de recourir à des services de comptabilité externes ou d'embaucher du personnel dédié.

L'exigibilité de la TVA et son paiement

Quand payer la TVA : dates et fréquences

La fréquence de paiement de la TVA, ainsi que les dates spécifiques, varient en fonction du régime d'imposition de l'entreprise. Pour le régime réel normal, les déclarations et paiements peuvent être mensuels ou trimestriels, ce qui exige une gestion plus régulière. Les entreprises ayant un chiffre d'affaires inférieur à 4 000 € peuvent choisir une déclaration trimestrielle.

Le régime réel simplifié se caractérise par des obligations déclaratives allégées. La TVA est payée sous forme d'acomptes semestriels, généralement en juillet et en décembre, quelles que soient les dates de l'exercice comptable. La date limite de dépôt de la déclaration CA12 pour ces entreprises est fixée au 3 mai de l'année suivante pour un exercice clos le 31 décembre.

Les entreprises doivent être conscientes de ces dates pour éviter des pénalités pour retard de paiement.

La franchise en base de TVA

Présentation de la franchise en base de TVA

La franchise en base de TVA est un régime spécifique qui dispense certaines entreprises de la déclaration et du paiement de la TVA sur leurs transactions. Le principal avantage de ce régime est la simplification des obligations fiscales, car l'entreprise n'a pas à facturer de TVA à ses clients ni à la reverser à l'État. Cependant, elle ne peut pas récupérer la TVA payée sur ses achats. Ce régime est généralement applicable aux micro-entreprises et aux petites entreprises, notamment celles dont les clients sont principalement des particuliers ou des associations.

Les conditions pour bénéficier de la franchise en base de TVA

Pour bénéficier du régime de la franchise en base de TVA, votre entreprise doit respecter plusieurs conditions liées à son chiffre d'affaires et à son activité.

Premièrement, le chiffre d'affaires de l'année civile précédente (N-1) ne doit pas dépasser certains seuils. Ceux-ci sont spécifiques à la nature de votre activité :

  • Pour les ventes de marchandises et fournitures de logement, le seuil est de 84 000 €.

  • Pour les prestations de services, il est de 33 200 €.

Deuxièmement, la franchise en base de TVA est indépendante du régime d'imposition de votre entreprise. Que vous soyez sous le régime réel normal, le régime réel simplifié ou la micro-entreprise, vous pouvez prétendre à cette franchise.

Il est important de signaler que le dépassement des seuils n'entraine pas une perte immédiate du bénéfice de la franchise. Des seuils de tolérance sont prévus pour permettre une transition en douceur vers le régime de TVA standard.

Le régime de TVA pour les entreprises agricoles

Les spécificités du régime de TVA pour l'agriculture

Dans le secteur agricole, l'application de la TVA présente des particularités. Deux régimes principaux existent : le remboursement forfaitaire (RF) et le régime simplifié de l'agriculture (RSA).

  • Le RF est un dispositif de compensation des charges de TVA supportées par les exploitants agricoles non redevables de la TVA.

  • Le RSA, quant à lui, est un régime de TVA annuel avec paiement par acomptes.

Ces régimes offrent une certaine flexibilité pour les exploitants agricoles, en fonction de la taille de leur exploitation et de la nature de leurs opérations.

Les obligations des entreprises en matière de TVA

Les obligations déclaratives des entreprises assujetties à la TVA

Toutes les entreprises assujetties à la TVA ont des obligations déclaratives. Ces obligations varient en fonction du régime d'imposition auquel elles sont soumises. Pour les entreprises soumises au régime réel normal, elles doivent compléter et transmettre mensuellement, ou trimestriellement lorsque la TVA due annuellement n’excède pas 4 000 euros, une déclaration CA 3 (imprimé n°3310-CA3).

Une entreprise sous le régime réel simplifié doit produire une déclaration de TVA annuelle (appelée CA12) et déclarer 2 acomptes semestriels (juillet et décembre).

Pour les entreprises commençant leur activité à compter du 1er janvier 2015, elles relèvent obligatoirement du régime réel normal en matière de TVA. Par défaut, l’entreprise est soumise au dépôt de déclarations de TVA selon une fréquence mensuelle.

Enfin, pour les entreprises non établies dans l'Union européenne mais redevables de la TVA en France, elles doivent désigner un représentant fiscal pour remplir leurs obligations déclaratives.

Les obligations de paiement des entreprises assujetties à la TVA

Les entreprises assujetties à la TVA ont non seulement des obligations déclaratives mais aussi des obligations de paiement. Les modalités de paiement varient selon le régime d'imposition auquel l'entreprise est soumise.

Pour le régime réel normal, le paiement de la TVA doit être effectué lors du dépôt de la déclaration CA3, soit mensuellement ou trimestriellement.

Dans le cadre du régime réel simplifié, le paiement se fait en deux temps : deux acomptes semestriels sont versés au cours de l'année (55% en juillet et 40% en décembre), calculés sur la base de la TVA due l'année précédente. Le solde est payé à la suite de la déclaration annuelle CA12.

Il est essentiel que les entreprises respectent ces échéances pour éviter des pénalités de retard. Pour faciliter le paiement, elles peuvent opter pour le prélèvement automatique.

La TVA et les impôts : comprendre le lien

La TVA, un impôt indirect sur la consommation

La Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA), est un impôt qui se caractérise par son invisibilité pour les entreprises. En effet, celles-ci agissent en réalité comme des collecteurs pour le compte de l'État, percevant la TVA lors de la vente de biens ou services, avant de la reverser à l'administration fiscale.

La TVA est donc un impôt dit "indirect" car elle est intégrée au prix final payé par le consommateur, sans que ce dernier ne soit directement sollicité pour son paiement. Il s'agit d'une taxe sur la consommation, car elle s'applique à chaque étape de la production et de la distribution d'un bien ou d'un service.

  • Calcul de la TVA : Elle est calculée sur le prix de vente hors taxes (HT) des biens et services. En France, le taux normal est de 20%, mais des taux réduits existent pour certains produits ou services.

  • Rôle des entreprises : Elles collectent la TVA de leurs clients lors de la vente de biens ou services, puis la reversent à l'État après déduction de la TVA qu'elles ont elles-mêmes payée sur leurs achats. C'est ce qu'on appelle le "droit à déduction".

  • Impact sur le consommateur : Bien que collectée par les entreprises, c'est finalement le consommateur final qui supporte l'impôt, puisqu'il est inclus dans le prix final du bien ou service qu'il achète.

La TVA est donc un levier important de la fiscalité, permettant de générer des recettes significatives pour l'État.

L'impact de la TVA sur les impôts de l'entreprise

La TVA a une incidence significative sur la fiscalité des entreprises, bien qu'elle soit en principe neutre pour elles. En effet, les entreprises collectent la TVA sur leurs ventes et peuvent déduire celle qu'elles ont payée sur leurs achats. Le solde, appelé TVA due, doit être reversé à l'État. Cette TVA due peut augmenter le montant total des impôts de l'entreprise, en particulier si elle ne parvient pas à récupérer intégralement la TVA payée sur ses achats. Par ailleurs, les erreurs de gestion ou les retards dans la déclaration et le paiement de la TVA peuvent entraîner des pénalités financières. Toutefois, une bonne gestion de la TVA peut optimiser la fiscalité de l'entreprise. Par exemple, la récupération de la TVA sur les achats et frais généraux peut réduire le coût final de ces dépenses.

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